2. Comment structurer la participation des associations au mouvement?

La structuration des associations doit se faire sur un mode similaire à celui des citoyens: A. Envoi d'information (ex: newsletter), B. Réception d'information (ex: atelier).

En fonction de l'organisation que nous nous choisissons nous pouvons imaginer: 1. Le groupe Comm. fait les newsletter et un autre groupe (à créer?) fait les ateliers avec les citoyens, les assos et les organisations. 2. Un seul groupe gère l'ensemble. 3 La comm fait la comm, les ateliers citoyens sont gérées par un groupe, les ateliers assis/organisations par un autre.

Quelque soit la structure choisie, il faut mettre en place un système de retour vers le comité pour l'informer mensuellement des points que les citoyens, les associations et les organisations remontent lors des ateliers. Ce mécanisme de retour permettra d'accroitre l'acuité du mouvement sur les besoins de la population et sa légimité en tant que nouvel acteur de la société civile.

Il pourrait être pertinent de scinder les associations de quartier des organisations institutionnelles pour clarifier la structure et le mode d'intéraction vu qu'il est évident qu'une association de 10 personnes et un syndicat de 500.000 sont par nature fort différent.

• faire de TAC un référentiel commun via les balises et les inviter à visibiliser leur participation à TAC via leur site (et les inviter à indiquer pourquoi elles ont adhéré)
• encourager le travail d’analyse de certaines de ces structures
• une participation aux frais de TAC, proportionnelle (selon un critère à choisir) et qui pourrait être amputée si mise à disposition de matériel La spécificité de TAC dans le lanterneau est sa capacité à mobiliser et des associations et des citoyens, dans un dialogue renouvelé et innovant en termes de propositions d’actions. Certaines associations vont être amenées à décloisonner et entendre de nouveaux discours, directement en lien avec citoyen. TAC est un mouvement pour et par les citoyens et les structures, ces deux composantes se renforçant

Globalement un travail de réflexivité. Il y a des 5-6 étudiants qui ont consacré leur mémoire/tfe au G1000. Cela a permis de documenter le g1000 et de le positionner dans un espace plus large. Cela a aussi obligé des porteurs à réfléchir sur le G1000 et en dire sa genèse.

Suite à la réunion des associations, ong et syndicats, un groupe thématique a être constitué pour clarifier leur place dans le mouvement et leur participation au financement et au processus de décision du mouvement. il est important de faire la distinction entre les syndicats, les associations du mouvement ouvrier (MOC, CEPAG, Vie Féminine, FPS, ..), les organisations non gouvernementales qui fédèrent associations et syndicats en front commun (CNCD, CIRE, Réseau Pauvreté, Lire et Ecrire, ...), les associations indépendantes (petites et grande).

Considérant que ce sont les personnes engagées qui constituent la base du mouvement (un peu dans ce que j'aimerais comprendre, dans la constitution belge, de la phrase « Tous les pouvoirs émanent de la nation », autrement dit du peuple), les associations et organisations ne peuvent avoir aucun autre pouvoir de décision dans le mouvement qu'au travers de leurs membres qui s'y engagent, d'autant plus que la taille très diverse de celles-ci ne rend pas réaliste leur représentation en tant qu'entité spécifique du mouvement. Par contre, un conseil des organisations importantes au sein du mouvement pourrait être - notamment - mis sur pied, qui serait purement consultatif, un peu à la manière des Commissions de concertation aujourd'hui au niveau politique communal - voir aussi rép. à la qu. 1.