16. Qui doit composer le comité de pilotage?

La composition du comité de pilotage doit représenter les membres actifs du mouvement: les locales et les GT/GTT. Ce sont eux qui prennent décision pour TAC.

Chaque groupe se voit attribué un siège: 1 siège par locale, 1 siège par GT (inclus groupe de liaison citoyens et associations) et 1 siège par GTT (inclus responsable thématique (ex: TTIP)). Un siège égale une voix, une locale ou un groupe de travail peut venir à plus en AG mais n'aura pas plus de droit de vote pour autant.

Ces représentants sont cadrés par le président du comité aidé dans sa tâche par le représentant du bureau.

Le nombre de siège doit être maintenu sous la limite des 25. Une réforme du système de siège devra envisagée lorsque le nombre de locale dépassera 12.

La participation de tous est encouragées.

A ce stade, le comité doit rester ouvert à tous et toutes. Tous les membres peuvent avoir connaissance de ses travaux (convocations, notes, pv).

a moyen terme (6 mois), les membres effectifs doivent être précisés, en assurant un équilibre entre les citoyens et les mouvements porteurs, sans oublier les personnalités culturelles et scientifiques.

attention : il reste à savoir en quelle qualité siègent les personnes représentants une organisation : en qualité de personne morale (ils engagent leur organisation) ou en qualité de personne physique (ils siègent à titre personnel mais représentent les sensibilités de leur organisation).

Option 1 : des membres tirés au sort parmi les membres actifs du mouvement, ç.-à-d. parmi les signataires, tous les membres de groupes, des locales, etc., plus éventuellement, ou avec une pondération moins importante, ceux qui se sont manifestés autrement à travers certaines initiatives comme précisément ce questionnaire, autrement dit, tous ceux qui sont actifs dans le mouvement (cf. qu. 23 et 28).
Option 2 : des personnes issues des locales selon la procédure proposée par les locales de St-Gilles et de Watermael-Boistfort
NB ; l'idée de délégués des locales et des groupes de travail ne me semble pas envisageable, car impraticable avec un nombre important de locales (ou alors on arrive à une désignation indirecte via des régionales à créer partout – voir réponse à la qu. 5 -, ce qui aboutit pratiquement à des délégués qui peuvent difficilement, pour des raisons pratiques de timing des réunions, en référer au niveau le plus bas, celui de la locale). Il faut veiller aussi à avoir un lien permanent avec une partie des GT, il me paraît par ex. important que le GT MFF envoie un délégué permanent vers le CP (qui n'aurait qu'un pouvoir consultatif à coté des membres « à part entière » du CP).

une assemblée dont le nombre à déterminer trouvant un équilibre entre citoyens (l'idée du tirage au sort me plait), institution (tirée au sort ?) et locale.
LA QUESTION DE LA COMPOSITION POSE CELLE DE LA CONFIANCE DANS LA REPRESENTATION. Si les propositions viennent de groupes multiples et ouverts, elles me semblent réglées, le comité de pilotage travaillant sur base des options prises par les groupe de travail.